L’humoriste Laura Calu témoigne de la grave agression dont elle et son petit-ami Arthur ont fait l’objet dans un « quartier populaire » de Paris. Traitée de pute par des hommes qu’elle n’ose décrire, elle a voulu se défendre et les hommes s’en sont physiquement pris à elle. Son petit-ami a alors pris sa défense et a été tabassé, a reçu des coups de pieds à la tête et s’est fait éclater les dents. Traumatisée par la violence de cette attaque, elle alerte sur la léthargie des pouvoirs publics face à l’insécurité. Elle qui avait choisi son « quartier parce que en fait ça prouve qu’on peut vivre ensemble« , est désormais « dans l’obligation de déménager » car elle craint de recroiser ses agresseurs et parce que ce genre de scène est banal dans son quartier.
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